Discussion Inutile

Titre : Discussion Inutile
Auteur : Mary Fiévé
Classification : RAS
Résumé : Mulder et Scully se réveillent dans un lit...
Disclamé : Mulder et Scully sont la propriété exclusive de CC, je ne fais que les empreinter!
Note de l'auteur : Cette fic est le résultat d'un défi que m'ont lancé Goldy et Gat ! Je venais de débarquer sur le forum, et elles m'ont demandé d'écrire une fic avec Mulder et Scully dans un lit mais...sans aucune trace de shipp' !



Une douleur au poignet le réveilla, il sentait l’irritation de sa peau devenir plus qu’insupportable. Il fini par ouvrir les yeux sur une pièce plongée dans la pénombre, ne comprenant pas ce qu’il lui arrivait, il scruta son entourage, finissant ainsi par découvrir sa partenaire allongée à ses côtés sur le même lit d’une qualité plus que discutable. Il trouva l’explication de la douleur de ses poignets en la présence de menottes qui le forçaient à rester dans cette position, l’emprisonnant aux barreaux de la tête de lit. Il réussit néanmoins à se tourner vers la jeune femme, pour constater qu’elle subissait le même sort que lui.
-Scully…Scully… réveille-toi ! Elle tourna alors la tête vers lui, ouvrant des yeux embrumés par le coup qu’elle avait reçu lors de leur prise en otage.
-Moui… ?
-Ca va ?
-Oui parfaitement bien, tu veux un café pour rendre la discussion plus agréable ? Sa voix avait une demi-teinte d’amertume et de semblant d’humour.
-Bien…je vois que tu es en pleine forme !
-Mulder, as-tu la moindre idée de la raison pour laquelle nous sommes enchainés tous les deux sur ce lit ?
-Hum… Aux dernières nouvelles on était encadrés par quatre hommes cagoulés qui nous ont…
-Sauter dessus ! Merci !
-Bon si tu le sais pourquoi tu me demandes ?
-Non, mais tu es profiler, tu as une idée quant à la raison pour laquelle ils nous ont pris en otage ?
-On a mis le frère de la tête pensante derrière les barreaux, ils veulent surement obtenir sa libération !
-Tu es en train de me dire que notre vie ne dépend uniquement des agissements de nos supérieurs ?
Il lui répondit dans un soupir qui voulait dire «oui» et laissa ensuite le silence s’installer dans cette chambre devenue leur cellule de détention. Ils n’avaient plus qu’à espérer que leurs supérieurs feraient le nécessaire pour leurs vies, eux ils ne pouvaient rien…