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Sexual Fantasies about a Desperate Housewife

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Sexual Fantasies about a Desperate Housewife Empty Sexual Fantasies about a Desperate Housewife

Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:31

Titre : Sexual Fantasies about a Desperate Housewife

Auteur : Humbug

Avertissement : NC-17 ; Attention cette fix contient des éléments pornographiques, elle est donc réservée aux personnes majeures et averties !



Résumé : Au cours d'une conversation avec Joss_Dogett, nous avons parlé de nôtre passion commune pour les actrices porno des 90's et il se trouve que l'une d'elle, Ashlyn Gere (ma préférée en plus), jouait dans X-Files puisqu'elle incarnait Bonnie McRoberts, la femme phobique du viol dans l'épisode "Blood". Joss m'a donc demandé d'écrire une fan-fix NC-17 où Mulder et elle auraient un rapport. J'ai cherché un angle d'approche crédible (car Madame McRoberts meurt deux ou trois minutes après sa rencontre avec Mulder) et j'ai fini par en trouvé un : Le fantasme.

Voici donc les rêveries pimentées de nôtre agent très spécial à propos d'une femme très certainement au foyer, Bonnie McRoberts (incarnée par Ashlyn Gere) !

...Je dédie bien évidemment cette fix à Joss-Doggett


Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas.

Sexual Fantasies about a Desperate Housewife Vlcsna12




X-Files








Fan-Fiction NC-17











«Sexual Fantasies about a Desperate Housewife»










1-Introduction



L’agent spécial du FBI Fox Mulder était pensif. Depuis que les grands pontes du bureau avaient décidé de fermer son service, les affaires non-classées et qu’ils l’avaient séparé de sa partenaire médecin, l’agent Dana Scully, il se rendait tous les jours au J. Edgar Hoover Building mais ne mettait plus de cœur à l’ouvrage, loin de là. Un comble pour celui qui accumulait le plus d’heures supplémentaires de tous les agents du Bureau, antennes locales comprises, jusqu’au jour où cette décision fut prise en haut lieu. Son informateur avait été exécuté et les responsables ne lui confiaient plus que des tâches ingrates comme la retranscription d’écoutes téléphoniques liées à des suspects dans une affaire de fraude à l’assurance. Une fonction très loin de son haut niveau de profiler et d’enquêteur hors paire. Mais il s’avait pertinemment que c’était une manœuvre pour le dégoutter, un placard pour le pousser à la démission. L’assistant du Directeur-Adjoint Walter Skinner, l’avait même envoyé dans les égouts de Newark dans le New Jersey pour élucider le meurtre de plusieurs égoutiers. Une chance que le responsable s’était avéré être un homme-douve mutant, une créature qui entrait exactement dans le cadre de ses prérogatives aux X-Files. Son seul allié au congrès, le sénateur Richard Matheson lui avait aussi fourni des informations concernant un signal extra-terrestre capté par le radiotélescope d’Arecibo et qui l’avait emmené jusqu’à l’île de Porto Rico. Mais toutes les preuves avaient disparues et avec une Brigade Ufologique aux trousses, il n’avait pu s’en sortir que d’extrême justesse. Mais pour l’heure, il enquêtait sur une affaire bien différente.

Dans la petite ville de Franklin en Pennsylvanie, des citoyens apparemment ordinaires et aux casiers judiciaires vierges devenaient tout à coup fous de rage sans la moindre explication et se mettaient à tuer tous ceux qui les entouraient avant de se suicider en obligeant la police à les abattre. La dernière tuerie avait eu lieu dans un ascenseur. Un agent immobilier de 42 ans avait tué quatre personnes à mains nues. Et durant les six derniers mois, sept personnes en avaient tué 22 dans cette ville alors qu’avant cela, il n’y avait eu que trois meurtres en 150 ans à Franklin. Ces statistiques alarmantes avaient transformées la petite bourgade en capitale du crime plus dangereuse que Détroit, Washington et Los Angeles réunies. L’agent Mulder avait remarqué grâce à son instinct aiguisé d’enquêteur chevronné qu’à proximité de chaque lieu du crime, il y avait un appareil possédant un affichage digital qui avait été détruit et il se demandait si cela n’avait pas un rapport avec les soudaines tueries qui avaient secouées la petite ville tranquille. Un biper, un fax, un téléphone portable, tous ces objets avaient été détruits au moment des massacres. Alors que l’agent spécial était en ville sur demande expresse du Shérif Ralph Spencer, un jeune homme droit mais complètement dépassé par les événements, un garagiste s’était fait exécuter et son registre montrait qu’au soir de son meurtre, il n’avait qu’un seul rendez-vous. C’était pour la voiture de Madame Bonnie McRoberts dont l’afficheur digital avait été cassé. Comme son adresse figurait sur le registre du réparateur auto, l’agent spécial et le shérif local avaient entrepris de lui rendre visite pour lui poser quelques questions. Elle était vraisemblablement la dernière personne à l’avoir vu vivante et son cas impliquait également l’endommagement d’un affichage digital. Ils sonnèrent à la porte et une jolie femme leur ouvrit presque immédiatement.


Dernière édition par Humbug le Dim 26 Juil 2015 - 13:51, édité 7 fois

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Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:36

2-Bonnie McRoberts




Elle avait sensiblement le même âge de Fox Mulder, la trentaine, et était parfaitement apprêtée. Elle portait un rouge à lèvres rosé très chic, du mascara, un peu d’ombre à paupière, du far à joue, mais le tout était très discret, elle n’était pas maquillée à la manière d’une prostitué, pas du tout. Elle portait également deux petites perles entourées d’or en boucles d’oreilles et ses longs cheveux châtains et bouclés étaient retenus par une barrette à l’arrière. Elle portait un chemisier sombre parfaitement ajusté. Ses yeux marron étaient particulièrement profonds. C’était une très belle femme au foyer ou peut-être une working girl mais elle était chez elle en pleine journée, et c’était ce qui fit penser à Mulder qu’elle était au foyer. Lorsqu’elle ouvrit sa porte et qu’il plongea ses yeux dans les siens, Mulder sorti soudain de sa torpeur. Cette femme lui rappelait quelqu’un mais qui ? Il chercha au plus profond de sa mémoire. Tout à coup, cela sembla lui revenir, à sa grande surprise. Il fut étonné au plus haut point car ce visage lui était familier mais dans des circonstances difficilement avouables. Depuis sa rupture avec Diana Fowley, il avait trouvé un certain réconfort dans la pornographie, qu’elle soit en cassette vidéo ou sur papier glacée et ce visage, ces yeux, lui rappelèrent irrémédiablement ceux d’une actrice porno qui l’avait particulièrement marqué lors d’une de ces soirée où il avait entreprit de se livrer à un plaisir solitaire. Le corps parfaitement moulé de cette femme, ses traits agréables, ses formes, ses seins gros et ronds et puis surtout son énergie à la tâche avaient considérablement facilité son onanisme. Les ondoiements de son corps et sa gourmandise proche de la boulimie avaient achevés de le convaincre que cette actrice était vraiment ce que l’on pouvait raisonnablement appeler une Bombe ! Une bombe atomique et anatomique ! Prête à exploser pour n’importe quel partenaire, qu’il soit masculin ou féminin. Était-ce que bien elle ou pas du tout ? Mulder se posa légitimement la question. C’était peut-être elle et elle avait, à présent suspendue ses activités, la carrière d’une porno star n’était pas bien longue, environ cinq ans dans la plupart des cas. Était-elle « retraitée » et dorénavant mariée à un homme riche et très occupé de cette modeste ville ? En tout cas, le destin l’avait peut-être mise sur son chemin. Il ne se rappelait plus du tout du prénom de la fille en question mais cela ne l’aurait pas aidé car les actrices porno prenaient très souvent un pseudonyme. Qu’elle soit présentée au début des films ou dans les magazines comme étant Tracy, Ashlyn ou Kimberly ne l’aurait pas aidé dans ses questions existentielles concernant la femme qui lui faisait face ce jour là. Par contre, cela le fit gravement fantasmer.
Un peu malgré lui, il se laissa soudainement aller à des pensées malsaines alors même qu’elle venait juste d’ouvrir sa porte et qu’aucun des deux n’avait dit le moindre mot. Il s’imagina alors dans un des films dans lequel il avait cru voir la femme au foyer. Un scénario cousu de fil blanc où l’homme qui sonnait à la porte d’une femme bien souvent magnifique et court vêtue, qu’il soit plombier, livreur de pizza ou même agent du FBI, finissait toujours dans le lit de cette femme esseulée par un mari trop occupé et toujours absent. Quelques lignes de dialogues convenues suffisaient amplement à précipiter la situation qui évoluait très vite vers une position horizontale dans une ambiance fiévreuse. En effet, les films X n’étaient pas vraiment connus pour leurs scénarios à suspense.

Dans ses rêveries, il s’imaginait tout seul, sonnant à la porte de celle qu’il comprit toute offerte à ses bras et sa ferveur sitôt leurs regards à peine croisés.

-Agent Mulder. FBI. Vous êtes bien Bonnie McRoberts ?
-Oui ! Répondit-elle d’une voix particulièrement suave et provocante.
-Puis-je entrer ? Je dois vous parler.
-Bien sûr !

Sa voix était toujours aussi sexy et la manière dont elle ouvrit grande sa porte pour que l’agent du FBI pénètre chez elle ne l’était pas moins. Fox Mulder entra et découvrit un grand intérieur moderne et parfaitement entretenu, comme dans la majorité des films qu’il avait pu voir.

-Asseyez-vous agent Mulder, je vous en prie.

Ses intonations étaient vraiment celles d’une hôtesse du téléphone rose. L’agent spécial s’exécuta. Il prit place dans un large canapé en cuir blanc. En face, il y avait un grand téléviseur posé sur un meuble en bois et la télécommande, quant-à elle, était sur la table basse, à côté de celle du magnétoscope. Ses yeux étaient ceux d’un lynx bien qu’il s’appelait Fox car il remarqua sur l’afficheur digital du magnétoscope qu’une cassette était sur « Pause ». Elle regardait donc un film quand il est arrivé et elle avait juste arrêté la lecture puis éteint la tv.

-Vous voulez prendre quelque chose ?

La question était équivoque et Mulder le remarqua mais elle parlait avant tout d’une boisson éventuelle, pas de son corps, du moins, pas pour l’instant.

-Moi j’ai très chaud ! Il fait très chaud ici !

Et elle joignit le geste à la parole en écartant légèrement son chemisier, ce qui montra à Mulder une poitrine ronde et ferme, divinement soutenue par un soutien-gorge en dentelle blanche.

Lui aussi eu très chaud tout à coup. Une petite voix intérieure lui lança un joyeux :

-Welcome to Pornoland !

-Je vais me prendre un rafraichissement. Lui dit-elle en se dirigeant vers le coin cuisine de son grand living.

Il la regarda tandis qu’elle était de dos, remarquant ses fesses particulièrement bien dessinées. Grâce à l’excellente luminosité de la maison, il remarque que sous son pantalon blanc, presque transparent, elle portait un string noir. Très provoquant de choisir une telle association de couleur car on sait forcement que le string noir se verra immédiatement sous un pantalon blanc et fin. Cela l’excitait, il aimait les femmes qui portaient des strings, enfin celles qui le portait bien, avec les fesses qui s’y prêtaient. Elle s’arrêta devant son réfrigérateur, s’empara d’un verre et fit couler de l’eau fraîche à la fontaine de son appareil. Elle jeta sa tête en arrière pour vider sensuellement le contenu de son verre.

Mulder la regarda se désaltérer et une goutte de sueur perla au niveau de sa tempe droite. Il desserra son nœud de cravate nerveusement.

Elle regarda l’afficheur digital du four micro-onde et l’heure laissa soudain place à un message non-équivoque « FUCK HIM ». C’était apparemment un ordre. Mulder avait le pressentiment que les afficheurs donnaient des ordres aux personnes dans cette ville.

Elle posa le verre sur l’îlot central de la cuisine et s’approcha de lui, la démarche féline. Plus elle s’approchait, plus le malaise de l’agent était palpable. Elle vint prendre place à ses côtés, sur le canapé. Ses mains sur les cuisses, elle plongea ses yeux dans les siens.

-Alors ? Qu’est ce qui vous amène agent Mulder ?
-Je…

L’enquêteur chevronné qu’il était perdait bel et bien ses moyens face à cette femme qui était entreprenante juste ce qu’il fallait. Mais elle accéléra soudain la cadence de son approche car elle posa sa main sur la cuisse du grand célibataire.

-Vous allez bien agent Mulder ? Vous êtes tout pâle.

Il n’arrivait pas à articuler la moindre syllabe.

-Je peux vous aider ?

La main droite de la femme au foyer esseulée était à présent sur l’épaule de l’agent tandis que sa main gauche était toujours sur sa cuisse. Elle bougea légèrement, comme lors d’une caresse et l’état de Mulder empira.

-Vous n’avez vraiment pas l’air bien. Laissez-moi vous aider.

Une fois de plus, elle joignit le geste à la parole et ne laissa pas répliquer l’homme en costume. Elle le débarrassa de sa veste et laissa échapper un très léger « Mmumh ! » lorsqu’elle aperçu pointer sous sa chemise trempée par la sueur un corps parfait entretenu par des heures de sport intensif. Mulder pratiquait le jogging, le basket et la natation et cela se voyait. Tout en le débarrassant de sa cravate, elle en profita pour palper son torse viril.

-Ça va mieux ?

Il était hésitant.

-Oui…Enfin je ne suis pas très sûr.
-Il faut vraiment vous détendre agent Mulder. Vous voulez que je vous aide ?

La situation n’était pas adaptée, loin de là, car madame McRoberts était un témoin très importante qu’il devait interroger, peut-être même la personne qui avait tué le garagiste, et Mulder le savait mais à cet instant, pour être franc, il n’en avait que faire. La chair était trop faible, même la sienne. Sans pour autant provoquer les choses, il avait l’intention de se laisser aller entre les mains expertes de Bonnie McRoberts, celle qui était peut être une ancienne actrice porno, même si, à cet instant, sans ancienne profession éventuelle ne le préoccupait plus outre mesure.


Dernière édition par Humbug le Jeu 20 Aoû 2015 - 7:58, édité 2 fois

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Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:39



3-Préliminaires





Elle commença à lui défaire les boutons du haut de sa chemise puis descendit lentement, sensuellement. Elle pratiquait sur l’agent Mulder un effeuillage en règle et il n’avait jamais été déshabillé de la sorte et avec autant de gourmandise, à part peut-être par Phoebe Green, sa petite amie anglaise à l’époque où il était étudiant à Oxford et qui était réapparue furtivement dans sa vie l’année précédente au cours d’une enquête. Lorsqu’il ne lui restait plus que trois boutons à défaire, Bonnie se leva et vint prendre place entre les deux cuisses de l’agent, à genoux face à lui. Tour à tour, elle regardait le torse glabre de l’agent puis elle plongea ses yeux dans les siens. Elle avait des yeux dont l’expressivité valait tous les livres du monde. Il remarqua dans son regard qu’elle avait véritablement faim de lui, une fin de Loup ! Elle enleva sa chemise et il se laissa faire, docilement puis elle la déposa sur l’accoudoir du canapé. Elle lorgna alors du côté de sa boucle de ceinture et empoigna cette dernière de ses mains énergiques. Elle voulait qu’il soit nu et le strip-tease n’avait pas changé la donne : la température de l’agent Mulder continuait à grimper en flèche. Elle réussi à lui ôter sa ceinture et s’attaqua sans perdre une seconde au bouton de son pantalon. Elle descendit sa fermeture éclaire et le petit bruit « Zzziiip » avait pour l’agent spécial le même son excitant et bienfaiteur que le plus lointain des signaux Extra-terrestre capté par n’importe quel radiotélescope. Elle empoigna son pantalon par les côtés et le fit descendre, avec l’aide complice de Mulder qui souleva ses fesses du canapé pour lui facilité la tâche. L’agent du FBI était à sa merci pour le plus grand de ses plaisirs. Il pensa soudain à Frohike, Langly et Byers, ses trois amis paranos. Il ne fallait surtout pas qu’il leur raconte cette anecdote sinon ils risquaient d’en mourir de jalousie, surtout le petit Melvin Frohike, de loin le plus addict à la pornographie des trois pieds nickelés. Il avait le pantalon au niveau des chevilles et il souleva les pieds pour s’en débarrasser complètement. Il était à présent nu et lorsqu’elle jeta un regard envieux sur son sexe, elle laissa échapper un nouveau « Mmmuummmh » encore plus gourmand que celui qu’elle prononça en touchant son torse. Elle était persuadé que ce sexe, très peu poilu et d’une taille plus que raisonnable allait, au moins, doubler de volume et de taille grâce à sa hardiesse et cela la réjouit au plus haut point.

L’espace d’un instant, il se dit que finalement, dans ce cas précis, le sigle FBI pouvait signifier « Fausse Bonne Idée », car après tout il était venu chez elle pour le travail et non pour son plaisir personnel, mais lorsqu’elle attrapa son sexe à deux mains et qu’elle commença à lui lécher le gland, son avis changea du tout au tout et il se dit :
« C’est une Putain de Bonne Idée !!! »

D’habitude, il n’était pas si grossier mais là, il n’avait plus de filtre, plus d’éducation, plus rien, juste une immense satisfaction.

Il se détendit, enfin pas vraiment de partout. Son sexe sur durcissait sous les coups de langue de madame McRoberts, puis il sentit sa verge avoir un tressautement lorsqu’elle la prit complètement en bouche et qu’elle pratiqua sur lui ce qu’on appelait communément une « gorge profonde »

« Gorge profonde ! » Soudain, il repensa à son informateur décédé peu de temps avant. Un homme d’âge mûr dans le secret des pyramides qu’il avait baptisé ainsi en hommage à la source secrète de Weinstein et Woodward lors de l’affaire du Watergate. Il avait à présent le vieil homme dans la tête.

-Oh NON, pas LUI !!!! Pas maintenant !! S’était-il dit à lui-même.

Mais il lui avait suffit de baisser la tête et de voir la femme au foyer pratiquer sur lui une divine fellation pour que sa concentration repointe le bout de son nez. Il était à présent tout à Bonnie McRoberts et cela était réciproque. Sa performance était digne d’une artiste de cirque, une véritable avaleuse de sabre, sauf qu’avec ce genre de lame, il était impossible de se couper l’intérieur de la bouche. Elle suçait le sexe durcit et rosé de l’agent du FBI et ses mouvements de haut en bas avait la régularité d’un métronome puis elle retira soudain le sexe turgescent de sa bouche et Mulder cru que c’était déjà fini.

-Que c’était bon ! Laissa-t-il échapper.

Mais Bonnie McRoberts était loin d’en avoir fini avec lui. Elle ôta la verge pour mieux en lécher le dessous. Et Mulder eu un spasme, il échappa un petit cri de surprise et de jouissance lorsqu’elle s’attaqua, avec sa langue décidément très agile, à ses testicules. Puis elle les avala comme on gobe une glace à deux boules en plein été caniculaire. Et dire que ce n’était que les réjouissances, l’apéritif.

Tandis qu’elle le masturbait de la main gauche, elle tendit la main droite vers la table basse et alluma la tv, sans regarder ce qu’elle faisait, toujours occupée à le sucer et le lécher. Il vit alors l’image figée du film qu’elle regardait quand il était arrivé. Incroyable. C’était un film porno. La femme au foyer regardait un film porno quand il a sonné à sa porte ! En plus, il le connaissait ce film, c’était « La double vie de Cendrillon », avec Savannah, PJ Sparxx et Racquel Darrian. Frohike lui avait offert la cassette pirate quelques jours auparavant. Là c’était quasiment la fin car Racquel Darrian qui incarnait l’une des sœurs de Cendrillon, Javote ou Anastasie, peu importe, s’était rendu à bal du Prince et était entrain de se faire littéralement démonté par un étalon très musclé dans une calèche. Elle appuya sur lecture et il regardait la scène où la belle Racquel donnait de sa personne tandis que Madame McRoberts s’activait sur son membre.

Après une fellation particulièrement délicieuse et un léchage des testicules en règle, elle le regarda intensément avec des yeux criant famine.

Elle avait, comme pouvait le dire une personne particulièrement grossière « des yeux qui sentaient le cul ! ». Une véritable chienne en chaleur qui avait décidé coute que coute de faire de cet agent bellâtre son « déjeuner », un petit « casse-croute » qui la changeait assurément de ses soirées « câlin du vendredi » avec son mari.
Elle remonta doucement le long de son corps, escaladant son torse. Ses mains telles des griffes marquaient le devant de Mulder. Elle profita de son ascension pour mordiller ses flancs puis ses tétons.

-Aaaahhh ! Je rêve ! Se disait l’agent spécial.

Le pauvre, il avait raison. Hélas ! Mais l’heure n’étaient pas à d’aussi basses considérations. A cet instant, il éprouvait un très grand plaisir, un plaisir inédit et c’était tout ce qui importait.

Lorsqu’elle fut à son sommet, elle attarda longtemps ses lèvres charnues sur celles de son amant, lui mordillant à l’occasion, sortant sa langue et cherchant celle de Mulder. Elle fini par y arriver. Il ouvrit la bouche en grand et leurs langues se mêlèrent, durant de longues secondes.

Tout en l’embrassant goulument, elle saisie l’arrière de sa crinière et enserra ses cheveux tellement fort qu’il avait cru qu’elle lui tirait.

Au début, les bras de Fox Mulder étaient ballants. Dire qu’il ne savait pas quoi en faire était abusif mais c’était quelque peu le cas, disons qu’il se laissait faire, tout simplement. Mais son intention n’était pas uniquement de jouir du moment présent, il voulait aussi être acteur de ce qui lui arrivait. Ses mains remontèrent doucement le long de la femme et il lui caressa vigoureusement les seins, une poitrine décidément parfaite. Puis il décida, durant ce méli-mélo de langues qui durait depuis presque deux minutes, de passer sa main gauche dans ses cheveux tandis que sa main droite s’occupait toujours du sein qui lui faisait face. Pris d’une soudaine fièvre dominatrice, il lui tira les cheveux, ce qui eu pour effet d’incliner la tête de Bonnie en arrière, violemment.

-Rrraahh ! Laissa-t-elle échapper.

Son regard se fit encore plus intense et envahi par le plaisir.

Visiblement cela lui avait plu. La gentille femme au foyer n’avait rien contre un brun de sadomasochisme soft, c’était à retenir.

Elle retira sa main droite de la chevelure soyeuse de Mulder et arracha littéralement son chemisier à deux mains. Les petits boutons volèrent à l’autre bout du living room, dans plusieurs directions. L’agent spécial vit alors sa magnifique poitrine qu’il décida d’embrasser. Plongeant la tête dedans et espérant battre le record d’apnée des champions de plongée sous-marine. Avec ses mains, elle écarta son soutien-gorge, des deux côtés pour que son étalon puisse mettre en bouche ses tétons ronds et durs. Elle voulait nourrir au sein « bébé-Mulder », et il aima ça, le gourmand. On ne voyait plus son visage, masqué qu’il était par l’impressionnante poitrine de la tigresse. Tout en mangeant goulument ses seins, lui aussi passa à l’offensive et voulant pénétrer son sanctuaire de sa grande lance pointant vers sa cible, il entreprit d’enlever son pantalon blanc immaculé. Il fit comme elle en le déboutonnant, sauf qu’elle ne portait pas de ceinture, heureusement. Une chose de moins à s’occuper. Elle l’aida en ondulant son corps pour faire descendre son pantalon. La tête de l’agent Mulder était toujours plongé au plus profond de son décolleté tandis qu’elle lui embrassait le dessus du crâne et qu’elle lui caressait le cuir chevelu de ses deux mains.

Les mains de Mulder, faisaient descendre le vêtement de Bonnie très lentement, enfin trop lentement à son gout. Le pantalon au niveau des chevilles, elle souleva son pied gauche puis son pied droit pour l’ôter totalement. Elle le repoussa négligemment. Elle était à présent en string et soutien-gorge, sur lui. Avec un large sourire et tandis qu’il ne voulait pas lâcher sa poitrine charnue tel un bébé affamé, elle porta les mains à son dos et dégrafa l’attache de son soutien-gorge en dentelle. Elle s’empara de l’objet d’une main et le balança de manière sexy comme le faisait les strip-teaseuses.

-Maintenant tu vas t’occuper de moi ! Lui dit-elle avec un grand sourire.

Elle s’écarta et il ne compris pas tout de suite pourquoi elle lui retirait littéralement le sein de la bouche. Tel un enfant, il prit même cela pour une injustice.

-Mais j’ai encore envie de téter, moi ! Pensa-t-il.

Pourtant, elle allait lui proposer de gouter à un autre de ses endroits. Elle se recula encore et s’allongea sur le dos, à l’autre bout du canapé en cuir. Et pendant qu’elle avait changé de place, elle avait éteint la télé, ils n’avaient vraiment pas besoin d’un film X pour être excité comme des puces. Le film continuait à défiler mais l’écran, lui demeurait noir. Elle le regardait toujours avec ses yeux d’une intensité folle et pleins de gourmandise. Son sourire aussi était ravageur. Elle avait l’intention de le confronté à la majorité des sept pêchés capitaux en une seule et même matinée. La gourmandise (ça, ça ne faisait aucun doute), l’avarice (car il la voulait toute entière et pour lui uniquement), la luxure (pas vraiment la peine d’expliquer pourquoi), la paresse (lorsqu’il se laissait sucer la verge en dodelinant sa tête, bouche grande ouverte, appréciant ce moment délicieux), l’envie (lorsqu’il avait vu son regard de chienne en chaleur, son décolleté pigeonnant et le string sous son pantalon immaculé), l’orgueil (de partager un moment d’une telle intensité sexuelle avec une femme si désirable) et enfin la colère (si quelqu’un venait à interrompre ce moment de béatitude extrême ou si tout ne se passait pas aussi bien qu’il l’avait espéré le concernant).

Il la regarda et remarqua qu’elle portait un signe distinctif, une tâche de café au lait au bas de la jambe droite, comme l’actrice porno qui lui plaisait tant et dont il avait oublié le nom, puis il se dirigea vers elle, les bras en avant pour la défaire de son string afin qu’elle soit comme lui, toute nue, enfin.

Elle était étendue sur son canapé qui ressemblait presque à un nuage à cet instant, le dos moite contre le cuir du divan. Mulder lui faisait face, le visage au plus près de son intimité féminine. Il regardait son sexe épilé façon « ticket de métro » avec envie. Il s’approcha encore et sorti sa langue, déjà prête à le laper. Il se concentra tout d’abord sur ses grandes lèvres. Sa main gauche caressait l’intérieur de sa cuisse pour s’assurer qu’elle reste bien écartée tandis que sa main droite malaxait toujours son sein gauche. Il ne pouvait pas s’en empêcher. Ces deux obus semblables à deux demi-sphères parfaites exerçaient sur lui une fascination obsessionnelle. Ils attiraient ses mains comme un aimant. Ces cuisses étaient plus écartées que lors d’une séance de gymnastique, elle était décidément très souple et Mulder pensa que si c’était bien elle, sa retraite était une bien triste de nouvelle pour le monde de la pornographie, pour tout le monde d’ailleurs, sauf pour lui, bien évidemment. Il se réjouit de profiter seul des talents indéniables de sa partenaire de sexe.

Tandis qu’il la léchait avec assiduité et gourmandise, la tête de Bonnie McRoberts étaient inclinée vers la droite, sa bouche était entrouverte et de temps en temps, sa langue sortait de sa bouche pour se pourlécher littéralement les babines. Mais ce n’était pas la seule chose à sortir. Elle émettait également de petits cris de jouissance. Et plus elle couinait de plaisir plus nôtre agent gouvernemental redoublait d’effort pour la faire monter au plus près du septième ciel avant même de l’avoir pénétré. Il s’en savait capable même si il n’avait pas une expérience folle en la matière.

Après un léchage en règle de l’entrée de son vagin, il s’intéressa tout particulièrement à son petit clitoris qu’il avait décidé de sucer comme un petit bonbon acidulé. Cela provoqua des spasmes chez la femme au foyer, elle aimait décidément beaucoup ce que lui faisait Mulder.

Ses yeux étaient mi-clos, tout comme ceux de l’agent lorsqu’elle pratiquait sur lui la fellation. Tout en continuant de lui caresser l’intérieur de la cuisse et de sucer son petit bonbon d’amour, il arrêta soudain de caresser son sein pour mieux lui pincer le téton. Elle émit un nouveau petit miaulement de plaisir.

-L’autre est jaloux. Lui dit-elle.

Et il lâcha la cuisse pour mieux remonter sa main gauche sur son autre sein. A présent il pinçait les deux tétons de la femme offerte, de plus en plus fort. Il voulu également explorer plus en profondeur son intimité et lui lécha à présent les petites lèvres et glissa sa langue au plus profond de son être comme si c’était un concours de distance ou que sa vie en dépendait.

Il était toujours pourvu d’une érection impressionnante. Alors qu’il allait au tréfonds de sa partenaire avec sa langue, elle laissa échappé un cri beaucoup plus fort que ceux qu’elle avait émis jusqu’à maintenant. Ses yeux sortirent de leurs orbites et elle eu un mouvement de bassin qui remonta jusqu’à ses épaules. C’était trop bon.


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Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:42


4-Les choses sérieuses




-Prends-moi ! Lui dit-elle, d’une voix qui résonnait telle une supplication.
-Mais je n’ai pas fini ! Objecta-t-il calmement, pour mieux lui faire comprendre que ce qu’elle ressentait là n’était qu’un début.
-Prends-moi maintenant. Je t’en pris.
-Qu’est-ce que tu veux ? Demanda-t-il d’une manière faussement candide afin qu’elle lui avoue son désir de vive voix.
-Toi ! Répondit-elle du tac-au-tac, pressée par le désir. Ta queue en moi !
-Où ça ?
-D’abord dans ma bouche pour bien la lubrifier.
-Mais tu es déjà toute trempée.

Il avait raison. Il pouvait sentir la cyprine couler dans sa gorge.

-M’en fout ! Donne-moi ta queue maintenant !

Il sourit alors et s’exécuta, l’escaladant comme le Mont Everest du Sexe. Lorsque sa verge grosse et dure fut au niveau de la bouche de Bonnie, celle-ci s’en empara sans les mains et commença à agir tel un piston. On aurait dit une boulimique. Mais Mulder n’avait pas dit son dernier mot et il n’avait pas l’intention de laisser la chatte de la jolie dame se reposer de tant de stimulation. Il approcha alors la main gauche de son sexe en descendant lentement le long de son ventre puis atteignit enfin l’objet de tous ses fantasmes. Le très beau sexe de sa partenaire l’attirait avec autant de ferveur et de fièvre que sa poitrine. Avec son majeur, il titilla d’abord son clitoris, décidément à la fête alors que son mari ne s’en occupait jamais. Puis doucement, il glissa un doigt dans sa tanière, puis un deuxième. A ce moment très précis, ses va-et-vient buccaux se firent beaucoup plus rapides. Elle aimait vraiment vraiment ça. Elle retira la queue de sa bouche pour mieux lui ordonner :

-J’en veux un troisième !

Et il ne se fit pas prier, s’exécutant dans la seconde. Elle avait à présent trois doigts de l’agent fédéral en elle ainsi que sa verge dans la bouche, d’ailleurs, cette dernière avait tellement grossi qu’elle cru un instant se déboiter la mâchoire en le suçant.

Tous deux étaient aux anges mais leurs ébats étaient encore loin d’être fini, ils ne venaient que de commencer. Elle retira de nouveau son sexe de sa bouche de peur de mourir étouffé de plaisir.

-Prends-moi, prends-moi, prends-moi ! supplia-t-elle.
-D’accord ! Se contenta-t-il de répondre comme si on lui demandait une chose banale, comme si, lui aussi était un acteur de films X. D’ailleurs il se dit qu’à cet instant, l’appellation X-Files n’avait jamais aussi bien portée son nom.
Il descendit le long de son corps en prenant bien soin que son gland ne s’éloigne jamais de ce dernier, qu’ils soient toujours en contact. Sa queue passa entre ses seins, couru le long de son ventre puis pénétra même légèrement dans son nombril avant de continuer sa course jusque dans son antre. Son gland la transperça puis il s’enfonça doucement.

-Hannn ! hurla-t-elle comme si elle venait de prendre un coup d’épée.
-Tu es chaude ! Se contenta-t-il d’articuler.

Un vrai dialogue de film porno, cliché et sans imagination, pas le genre « série érotique » avec un narrateur qui se baladait sur une jetée avec son chien et faisait semblant de lire le courrier coquins de jeunes célibataires en chaleur, non, du vrai dialogue de film porno, aucune retenue et surtout pas de romantisme ni de poésie !

Car si Bonnie McRoberts avait été dans cette fiction érotique, son courrier à elle n’aurait certes pas commencé par « Chères Amours Secrètes, j’ai décidé de vous envoyé cette missive… » Mais plutôt par « Cher agent Mulder, j’ai décidé de vous avaler entièrement la queue… ».

Mais le pire, c’était que les mots de Mulder, bien que galvaudés dans le domaine du X, étaient particulièrement de circonstances car son intimité était bouillante comme l’eau d’un  geyser. Et tout aussi trempée.

Puis il se mit à mouvoir son bassin et elle se mit à crier plusieurs fois d’affiler, elle ne pouvait plus s’arrêter.

-Comme dans du beurre !

Une autre réplique typique d’un film de boules. Comme quoi l’imagination de Mulder avait elle aussi ses limites.
Mais peu importait, l’agent que ses collègues n’hésitaient pas à surnommé Le Martien était devenu un véritable professionnel du Hard, un Extra-terrestre du cul, sauf que son long doigt à lui était sa verge et qu’il ne voulait pas « téléphoner-maison » mais « Pistonner-Bonnie », quant-à la finesse des dialogues, il n’en avait que faire.

Il faisait des va-et-vient avec son sexe dur comme du bois dans le vagin détrempé de la femme au foyer tandis que cette dernière avait les jambes on ne plus ouvertes. Ses mouvements étaient lents, voulant enfoncer son membre au maximum, puis il accéléra soudain et madame McRoberts cru qu’elle allait défaillir.

-Cet agent Mulder est vraiment un très bon coup ! Pensa-t-elle.

S’il était « Fox », elle était devenue sa « Vixen ». Une Vixen aussi sexuelle que dans les films de Russ Meyer.

Il ralentit soudain ses mouvements pour ne pas jouir un peu trop prématurément et prolonger au maximum ce moment délicieux. Elle arriva enfin à respirer et repris un peu de souffle. Pendant ses coups de butoir, elle avait cru mourir de plaisir et cela était loin d’être fini. Il décida de changer de position.

Il sortit son long sexe d’elle et s’assit sur le canapé. Il était dégoulinant de sueur. Elle le regarda avec des yeux qui disaient :

-Maintenant c’est à mon tour de te chevaucher !

Et elle se leva pour le rejoindre. La verge de Mulder était dressée, haute et fière comme un mât de cocagne. Et elle s’empala sur lui très doucement jusqu’à la garde. Lorsqu’elle fut assise avec son sexe qui devait arriver au niveau de son nombril, elle eu une bouffée de chaleur. Mais elle décida de monter et descendre comme un ascenseur lubrique.

-Han, han !

Elle ne pouvait pas se retenir de jouir et Mulder tendait d’imprimer son propre rythme en lui empoignant les hanches. Il donnait des grands coups. Cela dura plusieurs minutes. Tout en transperçant littéralement sa conquête, il admirait son corps et plus particulièrement sa poitrine dont il ne pouvait, décidément, pas défaire son regard. Cette position là fut une nouvelle victoire pour l’agent très très spécial. Il la regarda dans les yeux, ses yeux qui étaient d’une expressivité toujours aussi désarmante. D’un seul regard, elle obtiendrait tout et même plus, de n’importe quel homme. Elle prenait beaucoup de plaisir et il suffisait de voir ses sourcils levés et le regard qu’elle lui jetait pour s’en rendre compte. Ils s’embrassèrent avec la langue et se mordillaient les lèvres puis Mulder réussi à articuler durant une très courte pause où leurs bouches ne se touchaient presque plus :

-Une levrette !
-Humm !

Elle adorait l’idée. Elle sortit donc la verge de son vagin à regret mais savait que c’était pour la bonne cause. Elle se mit à quatre pattes sur le canapé et il regarda ses fesses, rondes et belles. Il ne pu s’empêcher de claquer une petite fessée à gauche. Elle aima ça. Il lui lécha le sexe puis remonta sa langue au niveau de son anus puis remonta encore jusqu’en haut de sa raie, tout en empoignant son postérieur des deux mains. Il attarda sa langue un petit moment au niveau de son petit trou puis il prit position, à genoux derrière elle et s’apprêta à entrer mais elle le surprit.

-Non attend !

Il eu peur que quelque chose n’aille pas du côté de sa partenaire et que son moment de douce béatitude teinté de désir fiévreux ne soit déjà fini.

-Je veux te sucer, encore !

Ouf ! Il fut rassuré et exécuta le désir de Bonnie en approchant, queue en avant, de sa bouche grande ouverte. Elle le suça de nouveau. Si lui ne pouvait pas résister au plaisir de malaxer et de téter ses seins, elle, de son côté avait beaucoup de mal à se passer de son membre au niveau de sa bouche. Elle enroula sa langue autour de son gland et Mulder leva les yeux au ciel. Bien qu’athée, un comble pour un agent qui croyait à tout ce qui relevait du paranormal, il se surprit à dire à ce moment précis :

-Merci seigneur !

Elle apposa un bisou sur le bout de gland qui signifiait « voilà, j’ai fini, tu peux me prendre maintenant ! » et il retourna derrière elle. Il pénétra doucement en elle. Lorsqu’il fut entré au maximum, elle lâcha un « que c’est Bon !!!! » qui était tout sauf sibyllin. Et il se mit à la chevaucher en la transperçant, les mains bien accrochées à son postérieur. Plus il l’enfourchait et plus elle jouissait fort. Au bout de plusieurs minutes, il sentit la sève monter et elle le sentit aussi au soudain gonflement de sa verge car elle lui dit :

-Tu ne vas pas jouir j’espère, pas déjà ?
- Non, ne t’inquiète pas ! La rassura-t-il, les cheveux trempés de sueur.

Mais il décida quand même de ralentir la cadence pour assurer le coup. Malin le renard. Ses coups de butoir étaient à présent tout doux et sa pression sanguine redescendit légèrement.

-Prends-moi sur le sol ! Lui ordonna-t-elle.

Et tandis qu’elle descendit du canapé lentement, il faisait tout pour la suivre comme un petit toutou afin que son sexe ne sorte pas de cette zone chaude et humide qu’il aimait tant. Ils étaient à présent sur le sol et les coups de butoir de Mulder redoublèrent d’intensité. Il tenait décidément la grande forme, un vrai champion olympique. Il lui mit une nouvelle fessée, puis une autre et dirigea à présent ses mains vers ses seins pour l’empoigner par une autre de ses zones érogènes. Il s’agrippait à sa poitrine comme on s’accroche à la corde d’escalade qui nous maintient en vie durant une ascension vertigineuse. Et c’était précisément ce qu’il était entrain de faire, il grimpait la femme au foyer comme on escalade une façade à pic, avec passion et détermination.

Elle dodelinait de la tête et Mulder pouvait voir ses cheveux valser dans tous les sens. Il pouvait s’imaginer ses yeux, exorbités par le bonheur.

-C’est bien toi ?

Il fallait qu’il sache, pendant qu’il la chevauchait fiévreusement, si elle était bien celle qu’il pensait.

-Quoi ?

Elle ne comprit pas.

-Tu étais actrice porno, n’est-ce pas ?
-OOUUUIII !
Il le savait !

Elle avait répondu par l’affirmatif tout en jouissant. Si leur séance avait été un titre de film, ce dernier aurait été à n’en pas douter « La chevauchée fantastique ». Ils étaient vraiment en phase, tous les deux, deux véritables bêtes lubriques mues par un seul désir, le plaisir et rien d’autre.

-Debout maintenant ! Lui dit-elle.

Si Mulder lui tenait fermement les seins, il était indéniable que c’était elle qui tenait les rênes de leur coïte. Elle marcha à quatre pattes vers la cuisine et l’agent du FBI ne voulait toujours pas sortir car il la suivait, sur les genoux, comme lors d’un chemin de croix, mais infiniment plus lubrique et animal était celui-là, beaucoup moins catholique aussi. Ils étaient à présent à proximité de l’îlot central et elle se leva. Il l’imita et tous les deux étaient debout. Elle s’agrippa fermement au bois du plan de travail tandis qu’il recommença à la pistonner avec ferveur. Les cheveux de la belle était à présent trempés et dégoulinants. Il décida de s’emparer de ses cheveux pour lui tirer la crinière comme si elle était une pouliche en plein galop. Il tapa encore et encore au fond de son vagin et elle exulta. Il sentit à nouveau la sève monter dans son membre mais cette fois, il n’avait plus l’intention de prolonger, son cul l’excitait beaucoup trop. Il accéléra alors la cadence en poussant un râle typiquement masculin. Un long râle qui ressemblait à s’y méprendre à celui d’un cerf en période de rut. Ses mains étaient tellement agrippées à ses fesses qu’elle allait surement garder la marque de ses ongles jusqu’au lendemain. Il explosa enfin et son sperme jailli, toute sa semence. Il donna des petits coups pour lui offrir la moindre goute, il ne voulait rien garder pour lui, tout lui donner.

C’était fini !

Ils venaient de baiser comme de vraies bêtes sauvages et cela avait été bon, excessivement bon même !


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Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:44



5-Encore une fois !





Il embrassa le milieu de son dos pour la remercier de ce moment exquis et elle se retourna. Son visage affichait une mine épuisée tandis que celui de Mulder était radieux, satisfait. Elle se dirigea vers le canapé, les jambes flageolantes et elle s’affala sur son sofa, les jambes ouvertes pour ventiler la chaleur extrême de son sexe. Il la regarda avec un petit sourire et la rejoignit. C’était incroyable mais la position dans laquelle elle se trouvait, affalée mais les jambes écartées excita de nouveau l’agent au plus haut point. Il était décidément insatiable. Son sexe était redevenu mou mais il était prêt à remettre le couvert, sans tarder. Une petite fellation et le tour allait surement être joué, il allait retrouver toute sa dureté en un temps record, juste le temps de « recharger son fusil ».

Il approcha alors son membre de la bouche de Bonnie McRoberts et pensait qu’elle allait lui dire :

-Nan ! Je suis trop crevée ! J’ai eu mon compte !

Mais pas du tout. Elle ouvrit la bouche avec gourmandise et se mit à lui lécher le gland tout en entourant sa queue de ses lèvres pulpeuses. Et cela fonctionna à merveille car le membre de Mulder se durcit à nouveau, prêt pour un second tour de manège. Mais il voulait aussi exciter sa partenaire et introduit deux doigts dans son intimité. Il n’avait pas l’intention de se faire romantique, il voulait qu’elle jouisse comme jamais. Il voulait l’envoyer au paradis, lui monter les étoiles et le Nirvana. Il la pistonna violemment avec ses deux doigts et elle due faire sortir la queue de sa bouche sous peine d’étouffement tant elle ne pouvait s’empêcher de pousser de puissants hurlements. Il avait dû trouver sa poche de cyprine car le liquide féminin se mis à jaillir comme un volcan. Il ne savait pas qu’il avait ce pouvoir, c’était la première fois qu’il voyait ça et elle ignorait également qu’elle était ce qu’on appelle une « femme fontaine ». Jamais aucun autre homme ne lui avait fait cela auparavant, pas même l’agent Mulder au cours de leur premier rapport alors qu’il y avait pourtant mis du cœur. Mais là, deux doigts et un peu de détermination avait suffit. Elle avait trempé son canapé et le sol de sa maison, sur lequel se trouvait une large flaque. Adorant cela, il entreprit de la faire « éjaculer » de nouveau et reprit ses mouvements rapides des doigts et elle hurla mais le liquide ne coulait plus. Il avait dû vider la poche de mouille et il en fut quelque peu déçu car il aurait bien voulu assister à ce spectacle une nouvelle fois mais ce n’était si grave, une fois c’était déjà fabuleux.

Il la souleva énergiquement et disposa son pied droit sur l’accoudoir du sofa tandis que l’autre était au sol. Ils se faisaient face et il entra en elle, debout. Une nouvelle position à mettre au crédit du Martien et cela ravi la femme au foyer. Mais très vite, rattrapé par son épuisement bien que surexcité, il l’entraina sur le sol. Il s’allongea sur le dos et c’était elle qui le chevauchait. Elle mit les pieds à plat et se mis à monter et descendre le long de sa queue. Il pouvait voir son petit rectangle de poils pubiens et juste en dessous, son membre. Il le vit apparaitre et disparaitre au gré des montées et des descentes de sa partenaire. Il aimait ce côté « il est là, il n’est plus là ! » et il était surtout excité par les rentrées dans le sanctuaire de madame McRoberts, assurément la plus X de toutes ses enquêtes.
Il lui pinça les tétons, les tournants comme des boutons de radio et tout à coup, sans trop qu’il sache pourquoi, le visage de Bonnie McRoberts disparu et sur ce dernier se superposa celui de sa partenaire aux affaires non classées, Dana Scully. C’était une petite rousse avec un carré long et les physiques des deux femmes n’étaient pas vraiment similaires. Et puis Scully était sa collègue. Pourquoi diable avait-il pensé à elle alors même qu’il se livrait à une partie de jambes en l’air endiablée avec une femme au foyer ? C’était un mystère typiquement imputable à l’imaginaire débridé des fantasmes masculins. Le pire était qu’il n’avait pas l’intention de chasser Scully de son esprit. Il l’imaginait entrain de le chevaucher sauvagement et avait décidé d’assumer cette pensée. Il imaginait que c’était à elle qu’il faisait l’amour, c’était elle qu’il pénétrait et c’était encore à elle qu’il pinçait les tétons. D’ailleurs, une imposante poitrine était bien le seul point commun des deux femmes. Elles étaient dissemblables, tant physiquement que psychologiquement, opposées même, mais soudain Mulder se mis à penser :

-Si ça se trouve, Scully est au moins aussi cochonne que madame McRoberts !?! Peut-être même plus !

Là, il fantasmait à plein tube. Mais Bonnie était toujours là et elle se mit plusieurs doigts dans la bouche, pour les humidifier. Il vit alors clairement de la salive, beaucoup de salive sur les doigts les plus longs de la femme au foyer et elle les porta à ses fesses sous les yeux ébahis de Mulder. Elle les glissa dans son anus et l’agent du FBI comprit immédiatement ce que cela signifiait : elle préparait son petit trou pour une sodomie.

Mulder se livra à un petit jeu d’acteur où il faisait le « rabat-joie ». Il fit un petit monologue intérieur où il se dit :

-Une sodomie ? Elle aurait pu me demander si je voulais tout de même !! »

Mais cela n’était pas crédible une seconde.

Une SODOMIE !!!! Bien sûr qu’il voulait !

Elle sortit alors le membre de Mulder et le glissa doucement dans son petit derrière.

-Ouch ! Ça ne rentrera jamais ! Soupira-t-elle.

-Mais si, mais si ! Pensa-t-il. Fais un petit effort.

Et son gland entra effectivement dans son anus. Il était large, comme un champignon tandis que le petit trou de Bonnie était décidément bien petit, tout petit. Il était à l’étroit et son sexe était compressé dans l’anus de la belle. Il avait l’impression que sa queue se faisait étrangler. Mais il éprouvait quand même du plaisir, d’autant qu’il s’imaginait toujours baiser avec l’agent Scully. C’était à elle qu’il « faisait les fesses ». Le visage de Bonnie McRoberts avait définitivement disparu du champ de vision de Mulder. Celle qu’il enfourchait à cet instant précis et qui couinait de plaisir, c’était sa partenaire, la petite rouquine.

Et cette pensée récurrente provoqua chez lui une réaction des plus inattendue et incontrôlable. Il joui à nouveau, sans avoir pu se retenir et sans avoir sentit même son sperme venir. Il rependit sa semence dans l’anus d’une femme au foyer et si jamais, un jour, il venait à raconter cette anecdote, même si cela n’était pas son genre, personne ne le croirait. Mais bon, rien de nouveau sous le soleil car, de toute façon, personne ne croyait jamais ce qu’il disait du moment que ce n’était pas quelque chose d’usuel. Un extra-terrestre, un mutant, une éjaculation anale dans une femme au foyer mariée, tout cela c’était du pareil au même pour ses collègues, de la pure science-fiction.
Il débanda immédiatement et Bonnie se leva, exténuée. Mulder, lui était au Paradis, il venait de faire l’amour à deux femmes à la suite, dont la deuxième était la docteur Dana Scully.

Une sacrée cochonne, d’après de qu’avait pu en juger Mulder. Une coquine que la sodomie ne rebutait pas. Bon il savait que ce n’était pas vraiment elle qu’il venait de prendre, c’était Bonnie McRoberts mais durant plusieurs minutes, il avait le visage de Scully face à lui alors qu’il baisait une femme au corps sublime et c’était tout ce qui lui importait.

Madame McRoberts approcha sa bouche du membre de Mulder et il l’espace d’un instant, il cru que la femme au foyer insatiable voulait remettre ça une troisième fois. Ça ne l’aurait pas dérangé outre-mesure mais là, il était vraiment crevé et puis cette superposition des visages, ce changement d’identité de sa cavalière avec celle de Scully l’avait un peu perturbé. Il ne voulait plus recommencer. Mais elle le rassura en empoignant sa queue de la main droite et en lui collant un bisou sur le gland.

-Beau boulot ma grande ! Puis elle le regarda droit dans les yeux. Si tu veux, j’ai une voisine toute aussi chaude que moi, elle s’appelle Racquel et c’était aussi une actrice porno ! On pourra s’occupé de toi toutes les deux.
-Racquel ? Pensa Mulder. Racquel Darrian ? L’actrice porno dont elle était entrain de regarder les exploits lorsqu’il sonna à sa porte était sa voisine ?

Impossible !!!

Et ce fut à ce moment précis qu’il sortit de ses rêveries.


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Message  Humbug Ven 24 Juil 2015 - 18:48



6-Réalité




Soudain, Mulder se retrouva devant la porte de madame McRoberts, avec le jeune shérif Spencer à ses côtés. Il fallait qu’il retrouve ses esprits et qu’elle ne soupçonne pas une seule seconde ce qu’il venait de se passer dans sa tête.

-Madame McRoberts ? Lui demanda-t-il.
-Oui !?!
-Voici le shérif Spencer. Je suis l’agent Mulder du FBI. Peut-on entrer ?

Elle parue gênée.

-Je suis en retard !
-Ce sera de ma faute ! Répliqua Mulder en entrant dans son domicile.

Le Shérif fit de même et elle referma derrière eux.

Elle n’était pas vraiment ravie de leur intrusion dans sa vie et dans sa maison.

Le moins que l’on pouvait dire était que ça ne se passait pas du tout comme dans son fantasme. D’une part, il n’était pas tout seul, ensuite madame McRoberts ne l’accueillait pas les bras (et le reste) ouverts, enfin, elle n’était pas du tout vêtu de blanc en bas mais d’un pantalon gris. Elle avait beau être sexy dans n’importe qu’elle tenue, ces vêtements là ne provoquèrent pas le moindre émoi chez Mulder. Elle était beaucoup plus terne que ce qu’il avait imaginé, plus « humaine » tout simplement ; ce n’était probablement pas une porno-star, c’était une femme ordinaire très certainement.

Par ailleurs, sa maison n’était pas comme il l’avait imaginé, c’était un pavillon typique de la middle classe un peu aisée, pas vraiment le genre de décor dans lequel on tourne un film porno car il n’y avait là rien de luxueux, par contre son intérieur avait l’air « confortable ».

Mulder eu le retour de bâton en plein visage lorsqu’il fut confronté à la triste réalité de la vie de Bonnie McRoberts car plus il inspectait la maison et moins elle ressemblait à celle de son rêve. Ce dernier n’avait pourtant duré qu’une seconde dans la réalité, mais au cœur de ses fantasmes, il avait vraiment eu le loisir de détailler un maximum de choses qui se trouvaient autour de lui.

Elle monta les deux marches qui séparaient le salon de la cuisine, un autre détail qui ne figurait pas dans son fantasme, et s’approcha du réfrigérateur.

Il y avait des fleurs sur la table du living et cela l’étonna car ça n’avait pas non plus effleuré son imaginaire, il s’était concentré sur des détails beaucoup plus triviaux.

-Vous avez eu des problèmes de voiture ?
-C’est mon mari qui s’en occupe.
-Je peux lui parler ?
-Il est parti en voiture à Pittsburgh pour une réunion.
-Ah ! Enfin ! Pensa Mulder.

Enfin un point commun entre l’actrice porno en retraite de son fantasme et Bonnie McRoberts, elles avaient toutes les deux un mari qui s’absentait souvent.

-Vous permettez que je prenne mon petit-déjeuner ? Ajouta-elle, passablement agacée.

Mulder la rassura.

-On dit que c’est le repas le plus important !

Elle s’empara d’un paquet de céréales et se dirigea vers le micro-onde. Sur l’afficheur de ce dernier, elle vit un message on ne peut plus clair : « Il sait ». Son inquiétude grimpa en flèche.

-Cette facture porte votre signature ! Lui dit l’agent en sortant un bout de papier qui provenait tout droit de chez le garagiste. Vous avez récupéré vôtre voiture hier soir ?

« Tues-les tous les deux » ordonnait à présent le micro-onde.

-Oui. Avoua-t-elle en s’éloignant.

Mulder s’approcha de l’appareil mais ne vit rien d’anormal, juste l’heure comme sur tous les fours micro-ondes.
-Vous pouvez m’expliquer comme l’afficheur du tableau de bord à été cassé ?

Elle paniqua. Elle revivait les messages et la peur panique d’être agressée.

Lorsqu’il avait fait ce doux rêve sexuel, Mulder ne pouvait pas savoir que madame McRoberts était effectivement celle qui avait tué la garagiste. Elle souffrait d’une phobie horrible. Elle avait la peur panique d’être la victime d’un viol, à tout instant. Lorsqu’elle se présenta au garage ce soir là, il était tard, il faisait sombre et le garagiste avait un comportement suspect. Il voulu qu’elle s’approche pour lui montrer ce qui clochait sur sa voiture mais elle redoutait le pire. Il lui avait dit que sa voiture avait de graves problèmes mécaniques mais lorsqu’il s’était penché au dessus du moteur, elle avait pu voir inscrit sur l’oscilloscope du mécano plusieurs petits messages d’avertissements qui n’avaient fait qu’accroitre sa paranoïa. « C’est un menteur », « Il va te violer », « Il va te tuer », « Tues-le d’abord » ; et c’était exactement ce qu’elle avait fait. Pour elle, c’était de la légitime défense puisqu’elle l’avait frappé à l’abdomen avec un outil alors qu’il brandissait une barre de fer au dessus d’elle. Le sang du mécanicien avait même giclé sur ses escarpins.

-Mme McRoberts ?

Mulder se doutait que quelque chose n’allait pas chez cette femme, son attitude n’était pas normale. Il aurait préféré que cette dernière soit toute autre, plus lubrique, mais là, ce n’était pas ça du tout. Elle était fiévreuse mais pas pour des raisons sexuelles, elle avait peur !

-Je l’ai cassé ! Réussi-t-elle à bredouiller tout en sentant monter ses larmes. C’est moi qui l’ai cassé !
-Pourquoi ?

Elle fit la moue puis ouvrit l’un des tiroirs qui se trouvait juste devant elle. Il y avait de longs couteaux de cuisines dedans.

-Mme McRoberts, quelque chose est apparu sur l’écran ?

Mulder se rapprocha d’elle. Elle sanglota et s’empara d’un couteau.

-Mme McRoberts ?

Mulder n’avait pas vu ce qu’elle était entrain de faire, il la dévisageait tandis qu’elle perdait pied et qu’elle était en larmes.

-Je peux vous aider ! Ajouta-t-il. Mme McRoberts ?

Cette fois, innocemment, il posa la main sur son épaule, exactement comme l’avait fait le garagiste, et il s’en suivi la même réaction, une réaction de self-défense de la part de la femme qui se sentait attaquée. Elle brandit donc le couteau vers Mulder et le frappa plusieurs fois. Il se protégea avec son avant-bras. Elle était enragée, exactement comme le chien Cujo dans le livre de Stephen King. Mulder trébuchait et elle le chevaucha mais cette fois c’était pour le tuer.

Dans un réflexe de protection, le shérif Spencer tira sur Mme McRoberts.

-Non ! Hurla Mulder.

Et ce fut le docteur Dana Scully qui pratiqua l’autopsie de la pauvre femme, à l’académie du FBI de Quantico en Virginie. Celles qui s’étaient retrouvées superposées et même assimilées dans les fantasmes de Mulder se faisaient enfin face. La vie pouvait être d’une ironie mordante parfois.

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