XFM Creations
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Funny Autopsy NC - 17

Aller en bas

Funny Autopsy NC - 17 Empty Funny Autopsy NC - 17

Message  fanafon Mer 26 Fév 2014 - 21:53

Funny Autopsy NC - 17 Images?q=tbn:ANd9GcSqcoqH_-uGfKpwySPgbLM49RHTZ94luZ3GJZrdejOKKG4nT85Sew

Titre : « Autopsy Fun aftermath »
Auteur : Kirsten Kerkhof
Date d'écriture : Février 2003
Rating : NC 17
Spoiler : Aucun
Catégorie : MSR / Ship ++


Si quelqu'un est prêt à tenter de supprimer le sourire béat de mon visage, je lui souhaite, par avance, bonne chance.

Dites vous bien que j'ai une bonne raison de sourire, vraiment.
Toute cette histoire a été comme un jeu finalement. Non pas que je doutais de l'empressement de ma partenaire pour un petit amusement torride, mais nous étions au travail et c'est une telle professionnelle, concentrée...

Boy, nous avons jeté tout cela au vent cet après midi !

***

- Agent Mulder, puis-je vous parler un instant ?

Ah, mon nouveau superviseur, l'AD Heidelberg. Un type, bien convenable et digne en toutes circonstances mais au moins il me laisse un peu de liberté.

- Que se passe-t-il Monsieur ?

Je le suis jusqu'à son bureau.

- Vous nous avez manqué cet après midi. Pouvons-nous avoir les détails concernant vos allées et venues ?

J'hésite un instant à lui dire la vérité.

- J'étais au laboratoire, monsieur.
- Donc, vous étiez au laboratoire......et... 
- Mon ancienne partenaire, l'agent Scully a effectué les autopsies sur les corps que nous avons découverts dans l'Utah. J'avais besoin de quelques informations pour élaborer le profil du tueur d'Alexandrie. C'est pourquoi j'ai pensé qu'il était préférable de m'y rendre moi même et de recueillir des informations qui me semblaient importantes.

Il me regarde intensément, comme pour jauger de la véracité de mes dires. Je ne bouge pas. Il n'a aucune raison de douter de moi. Bon, en fait, il en a bien sur. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a été nommé à ce poste.......Me surveiller. Mais pour l'instant, je ne lui ai jamais donné aucune raison de douter de moi ou de se plaindre de mon travail. Et je sais avec une grande certitude qu'il n'est pas au courant de notre petite escapade dans la salle d'autopsie.
J'ai appris deux ou trois trucs des Lones Gunmen. Comme prendre des mesures de sécurité dans certaines circonstances.
Cette connaissance est arrivée à point nommé lorsque j'ai décidé de « chasser » ma magnifique partenaire pour la surprendre.

Satisfait que je lui ai dit la vérité - ou insatisfait de ne pouvoir prouver que je mente - il hoche la tête.

- Très bien, je voulais simplement m'en assurer. Quand pourrai-je lire votre nouveau profil, Agent Mulder ?
- Si tout va bien, je devrai l'avoir bouclé à la première heure demain matin, monsieur. 
- Merci agent Mulder, ce sera tout. 
- Merci, monsieur, je réponds en tournant les talons.

Je sors du bureau et j'entends une voix derrière moi.
- Hey Mulder, tu t'es fait remonter les bretelles par Heidelberg ? 

C'est Paul Menendez, le gars avec qui je partage mon nouveau bureau. Il a un grand sourire.

- Pas vraiment, je réponds. Il voulait savoir où j'étais cet après midi.
- Oui, d'ailleurs tu étais où cet après midi ? Je t'ai cherché. As-tu déjà les infos sur les meurtres à Alexandrie ? J'en ai besoin pour mon rapport.
- Non, mais l'agent Scully me les envoie dès qu'elle a terminé.

La mention du nom de mon ancienne partenaire provoque un grand sourire sur le visage de Menendez. Comme cela se produit sur chaque homme du bâtiment Hoover.

- Ah, la délicieuse agent Scully. » dit-il en laissant échapper un petit gémissement. Mec, tu es le fils de pute le plus chanceux que je connaisse !

Je pense / Tu n'en as pas idée / Mais je ne peux pas empêcher le sourire qui se dessine sur mon visage.

- Quoiqu'il en soit, quand penses-tu qu'elle aura les résultats ? continue Menendez.

Je regarde ma montre.

- Ça ne devrait pas prendre plus d'une heure ou deux je pense.
- Deux heures ?
- Ouais, elle démarre à peine une autopsie sur le premier corps.  Elle aura besoin d'un peu de temps.

Il me fait un clin d’œil.

- En fait, je me disais que c'était sacrément rapide.  Elle est toujours comme ça ?
- Elle peut être encore plus rapide mais elle est minutieuse, je réponds, me sentant soudain très fier d'elle en ce moment. Mieux vaut garder cet élément pour moi.
- Je ferai alors mieux de retourner au bureau, et terminer ce rapport.., dit-il en appuyant sur le bouton de l'ascenseur. Où vas-tu ?
- J'ai besoin de quelques trucs au sous sol.

Il fronce les sourcils.

- Tu n'es pas censé y aller, dit-il avec précaution.
- Je sais mais j'en ai encore besoin et je ne pense pas devoir demander la permission pour m'y rendre.
- Ça me convient. C'est ton cul que tu mets en danger, pas le mien !

Je souris, nous entrons dans l'ascenseur.
- J'y suis habitué.

Je prends quelques instants pour respirer l'air moisi du sous sol, avant de fermer la porte du bureau derrière moi. De vieux souvenirs pénètrent mon corps par tous les pores. C'est un sentiment merveilleux.

Je jette l'un de mes fichiers sur le bureau, ce qui provoque un petit nuage de poussière dans l'air. Je m'assois sur mon vieux fauteuil et pour un moment, c'est presque comme si rien n'avait changé. Comme au bon vieux temps, assis derrière mon bureau, les pieds dessus en parcourant un dernier dossier déterré tout en attendant l'arrivée de Scully pour me ramener à la réalité avec des raisonnements intelligents et la courbe de son sourcil en action.

Je me retourne pour faire face au bureau, pour prendre une photo mentale de cette pièce remplie de coupures de journaux devenues poussiéreuses avec le temps.
Du coin de l’œil, j’aperçois une petite boite de diapositives, « rangée » derrière un tas de livres. Je tends la main et réussis à saisir la boite sans faire tomber la grande pile de livres. Je me mets plus près de la lumière et souffle la poussière qui la recouvre.

Je fronce les sourcils. Je ne me souviens pas l'avoir déjà vue auparavant. J'allume une autre lumière et commence à regarder les diapositives les unes après les autres. Je suis intrigué. Qui aurait pensé que ce bureau possédait encore des secrets pour moi ?

J'entends frapper à la porte et je souris.

- Il n'y a personne ici bas, à part le plus mal aimé des agents du FBI ! je réponds en prenant une autre diapositive à inspecter.

La porte s'ouvre et je lâche presque la boite lorsque je vois Scully à la porte.

- Wow, une impression de déjà vu, sourit-elle. Je ne sais pas vraiment si j'aime cette scène.

Je souris et pose la boite sur le bureau.

- Que veux tu dire ? Nous ne savions pas ce jour là mais ce n'est pas un souvenir dont je me rappelle avec dégout.

Elle sourit.

- Bien sur que non, moi non plus. Quoiqu'il en soit Menendez a dit que tu serai là. J'ai eu les résultats sur les meurtres d'Alexandrie.
- C'est rapide. J'ai dit à Menendez qu'il te faudrait moins de deux heures.
- Ah et bien tu me connais bien, sourit-elle. Je peux être très rapide lorsque je le décide.

Et avec ces mots elle marche vers moi.

- Oui, je sais, je réponds à voix basse. Puis une pensée me traverse l'esprit. Pourquoi es tu venu me trouver ici ? Menendez écrit le rapport, tu devrais donner ces résultats à lui, et non moi...
- Je l'ai déjà fait. 

Elle murmure alors qu'elle commence à m'embrasser.

- Je n'ai jamais dit que j'étais ici pour te donner les résultats de l'autopsie. Je suis dans ce sous sol pour autre chose... 
- Dois-je te demander ce que c'est ou puis-je faire confiance à mon instinct ? 

Elle défait habilement le nœud de ma cravate et la jette dans le fauteuil.

- Fais confiance à ton instinct. C'est le meilleur des guides. 
- Vraiment ? je dis doucement, saisissant son visage avec mes mains. Je me penche vers elle dans un profond baiser.
- Oui, répond-t-elle, haletante, wow.
- Donc tu es venu pour.....quoi exactement ?
- Tu ne devines pas ? Elle sourit et je hausse les épaules.
- Ouais...eh bien je ne peux pas croire que tu sois totalement d'accord avec ça... 
- Crois le... Elle accélère son travail sur ma chemise. Quand tu m'as dit que tu avais voulu me baiser comme un fou dans ce bureau, je me suis presque évanouie. 

Je souris.
- Je n'avais pas remarqué l'effet provoqué par mes paroles sur toi... 

Elle rit.
- Mulder, j'ai presque joui lorsque tu m'as dit ça ! Je ne pouvais pas m'arrêter d'y penser.
- Tu crois que le bureau est toujours surveillé ?

Elle sourit.
- Peut être.....Mais je doute qu'ils regardent encore les bandes d'enregistrements, ils pensent que le bureau est déserté et qu'aucun d'entre nous n'osera y revenir.
- Ils devraient mieux nous connaitre maintenant, non ? 

Je souris en la voyant se déshabiller et jeter sa jupe loin d'elle. Elle porte des bas avec un peu de dentelle. Jésus....Je peux m'évanouir juste à cette vue.

- DoooOOnc, dit-elle en étirant le mot, ce qui lui donne une sonorité incroyablement sexy. Tu as dis quelque chose au sujet de vouloir me baiser comme un fou sur ce bureau ?

Je souris, plaçant son chemisier loin de ses épaules et décrochant son soutien gorge.
- Oh oui, j'ai fait ça. Quelles positions particulières es-tu désireuse d'essayer en premier ?!

Elle sourit et ce sourire me coupe le souffle.
- Prends-moi comme tu veux, amant, je suis tellement excitée que j'accepte de tout faire pour que tu sois enfin en moi..... 

Jésus....

Je sais, j'ai beaucoup fait référence à lui à ces derniers instants, mais je suis tellement excité que j'ai cruellement besoin d'une aide divine pour me donner un brin d'auto contrôle avant de ravir cette femme magnifique qui m'aime tellement de plusieurs façons....

J'enlève rapidement le reste de mes vêtements quand elle se penche sur le bureau, ses yeux sont brulants comme les flammes, ses lèvres constamment léchées par cette parfaite petite langue rose et brulante, son visage et son cou sont rosis par l'excitation, oh mec ! Son odeur est partout autour de nous, chassant la poussière et l'air humide.

Puis elle fait quelque chose d'inattendu : elle saisit mes lunettes et les place soigneusement sur mon visage. Je suis certain que mon visage trahit mon grand étonnement.

- Tu es si sexy quand tu portes tes lunettes..., dit-elle d'une voix rauque.

Je n'aide pas vraiment les choses avec mon autre commentaire.
- Et sans elles, je ne le suis pas ?

Elle rit, mais c'est le rire le plus riche que je n'ai jamais entendu, plein d'un désir débordant.

- Je ne peux pas croire que je suis en train d'attendre une réponse pendant que ma magnifique-sexy partenaire est allongée sur mon bureau... 

Je souris. Je prends sa main et la dirige dans mes bras, appuyant sur ses lèvres pour un baiser brulant. Elle gémit lorsque j'applique ce baiser, ses mains volent vers mes fesses. J'appuie mon aine entre ses jambes. Ma bite est piégée entre nos corps, mais je ne l'ai pas entendu se plaindre. Il y a des endroits bien pires où elle pourrait se trouver.....

- Si tu veux y aller lentement, il va falloir une autre approche Scully... 

Je soupire quand nous rompons le baiser. Elle a l'air absolument sauvage.

- Je ne veux pas y aller lentement ! Elle grogne. Je te veux en moi, que tu me baises si fort qu'ils n'auront même pas besoin de visionner les caméras pour savoir ce que nous faisons !

Je l'allonge sur le bureau, ses cheveux ardents éparpillés en éventail vers le haut. Ses jambes sont solidement enveloppées autour de mes cuisses, comme pour m'empêcher de partir.

- Mon dieu, il n'y a pas de meilleurs vue au monde !

J' halète et je ne perds pas plus de temps pour entreprendre mes premières poussées en elle provoquant de forts soupirs de nous deux.
- ... ou une meilleure sensation... , j'ajoute alors qu'elle commence à gémir.
- Tu as absolument raison, répond elle, en accrochant ses bras autour de mon cou pour se redresser un peu et permettre à son corps de rencontrer le mien encore plus. Maintenant, arrête de parler...!

Je ne peux pas aller lentement, je le veux, mais je ne peux tout simplement pas.

- .........Je dois me déplacer.... , je soupire. Désolé... 
- Ne le sois pas, murmure-t-elle, laissant échapper un lourd gémissement, un son semblant passer de mon cerveau à mon aine directement. Va plus vite !

Je souris et accélère le rythme. L'air est rempli de notre odeur et du son de nos corps qui se déplacent ensemble. Nous savons que nous ne pouvons pas faire de bruit mais dieu, elle est tellement parfaite ! Aucun tribunal ne pourrait me juger coupable s'il savait ce que c'est de faire l'amour avec cette femme. Dites vous bien que je ne veux pas qu'ils sachent bien sur.

J'entends son rire dans mon oreille et je lève un peu la tête pour la regarder.

- Quoi ?
- Cela doit être un nouveau record de vitesse !  Sa voix est un peu plus rude qu'elle ne l'aurait voulu.
- Je suis désolé, je réponds en essayant de cacher ma déception. J'ai essayé d'être bon pour elle, mais je ne pouvais pas m'arrêter.
- Hey, ne le sois pas ! dit-elle en m'embrassant tendrement. Tu aurais dû remarquer que j'ai joui en même temps, si ce n'est avant toi. Aucun homme n'était jamais parvenu à me faire ça avant.

Je souris.

- Puis je me sentir fier maintenant ?

Elle hoche la tête.

- Mulder je peux honnêtement te dire que tu es le meilleur amant que j'ai eu. Pas que j'ai un dossier très volumineux mais quand même.... 
- Merci ! je souris en l'attirant vers moi. Alors as-tu besoin de retourner au laboratoire ?
- Oui, j'ai une autopsie en plus à faire avant de finir la journée... Et toi ?

Je repense à la montagne de paperasses qui m'attend mais je choisis d'ignorer cette pensée.
- Moi, j'en ai fini pour ici aujourd'hui. Je l'embrasse tendrement. Je crois que je vais rentrer à la maison et préparer notre petit diner aux chandelles que je t'ai promis... 

Pour un instant, je vois un éclat nouveau dans ses yeux, mais il disparait aussi vite. Peut-être que mon imagination me joue des tours à cause (grâce) à cette nouvelle situation, tout deux, devenus amants.

- Bonne idée. 

Et elle se rhabille, lissant ses cheveux. Rien dans son apparence ne trahit le fait qu'elle jouissait il y a encore quelques minutes. Quelle professionnelle !

- Je serai là à 20h, sois prêt ! 

Je la saisis et lui donne un baiser fougueux, qui la laisse haletante et la peau rougie.

- Ne t'inquiète pas pour ça, je serai prêt... 

Elle quitte alors le bureau, me laissant avec ce sourire béat au milieu des débris de nos vies antérieures. Nous avons certes perdu beaucoup mais nous avons aussi gagné tellement....


FIN
fanafon
fanafon
Cheveux de Scully saison 1

Messages : 12
Date d'inscription : 12/01/2014
Age : 38
Localisation : Toulon

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum